samedi 10 novembre 2012

La confiance dans l'entreprise selon Gouissem








L’œuf si fragile comme il est, est un être vivant, La force et la puissance seront développées en lui par la suite, de même que les relations humaines dans l’entreprise.


Les relations humaines dans l’entreprise sont un facteur majeur et déterminant pour la réussite de la stratégie et les atteintes des objectifs avec une performance optimale.


La recherche de la performance ne pourra  aboutir sans des liens solides et fluides entre les travailleurs, des liens qui se tissent à travers le temps grâce au climat de confiance mutuelle que l’employeur réussi à instaurer entre les membres de son organisation.


La confiance dont nous avons tous besoin est l’ingrédient majeur sans quoi le doute et les soupçons enveniment le milieu de travail et détruisent les relations et finissent par inciter à la démission, voire à la trahison.
Sans la confiance la vie en société est difficile, voire impossible, l’activité professionnelle  est ralentie, si elle n’est pas arrêtée carrément.
Si on ne fait pas confiance par prudence, on n’avance jamais, on ne saute jamais, de peur de tomber.
Comme la confiance repose sur l’incertitude, et sachant que  sans l’incertitude nous n’avons pas besoin de faire confiance, et comme on ne peut jamais tous prévoir à cause des impondérables nous n’avons d’autres recours que de faire confiance, l’impondérable et notre vulnérabilité nous obligent à faire confiance, afin d’avancer
Seulement nous devons savoir que la confiance dont nous avons tous besoin ne peut et ne doit être aveugle, car si l’impondérable nous oblige à faire confiance, la défaillance de l’homme nous oblige à être prudents. La confiance est une sorte de pari obligatoire sur l’autre ou sur nous-même.
 La confiance c’est s’éloigner de la certitude et de la quiétude pour avancer vers l’inconnu et vers ce qu’on n’est pas en mesure de contrôler.
Dans beaucoup de situation de la vie, la confiance est ce médicament amer et acre que nous obligeons l’enfant à le prendre en but de guérison.
En résumé, un manager qui cherche la performance, doit avant tout être capable d’établir un climat de confiance, pouvoir le gérer et enfin le développer.

samedi 14 juillet 2012

Si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute opinion de la sagesse. Quelqu'un vient un jour trouver le grand philosophe et lui dit :

- Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami?
- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui des 3 passoires...
- Les 3 passoires ?
- Mais oui, reprit Socrate. Avant de me raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire.
C'est ce que j'appelle le test des 3 passoires.
La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai?
- Non. J'en ai simplement entendu parler...
- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien ?
- Ah non ! Au contraire.
- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?
- Non. Pas vraiment.
- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?"

vendredi 18 mai 2012

En résumé la Performance selon Gouissem







La performance est mesurée généralement comme un résultat en chiffres, en bénéfices ou en rentabilité par rapport à des objectifs  préétablis.


A mon humble avis,  la performance est une notion plus vaste et plus globale. La performance plus un résultat d’un ensemble d’améliorations, de développement et de progrès dans une entreprise que de l’évolution de résultats chiffrés. La performance c’est la capacité d’adaptation par mutation progressive de l’entreprise dans un environnement généralement imprévisible et surtout en perpétuel changement. 

La performance consiste à pouvoir mettre en place, suivre et appliquer une stratégie adéquate qui se moule sur les exigences du milieu en prenant en compte toutes les contraintes de celui-ci.

La performance est un tout en soit ou l’adhésion de la ressource humaine et un facteur majeur et qui reste une condition sine qua non pour son optimisation.

En bref, La performance est l’appréciation d’un résultat obtenu par rapport à des objectifs préétablis dans un cadre de stratégie bien tracée pour un environnement et des conditions changeants, imprévisibles, exigeants et limités.

En fin, je conclus que la performance n’est optimale que si la stratégie déployée est efficiente.

La performance consiste à obtenir un certain résultat à partir d’objectifs donnés, avec des moyens forcément limités et dans un environnement soumis à des changements imprévisibles.

vendredi 20 avril 2012

En résumé la Stratégie Efficiente selon Gouissem


      



La stratégie efficiente d’une entreprise est un ensemble de processus et de mécanismes complexes et interdépendants, conçue dans un cadre qui tient compte des contraintes d’un environnement imprévisible, exigeant soumis à des changements perpétuels, agissant une fois déployée par synchronisation pour atteindre un ou plusieurs  objectifs dans des limites préétablies, La stratégie efficiente est une trajectoire ou un parcours tracé pour être parcouru dans les meilleurs conditions possibles, afin d’orienter le développement de l’entreprise en tenant en compte les aléas et en anticipant l’avenir.


La maitrise d’une stratégie pour atteindre les objectifs escomptés est conditionnée par une parfaite connaissance de l’environnement, des besoins, des exigences et  une expérience avérée  favorisant le flaire et l’anticipation.


Une bonne stratégie doit être  efficiente en plus de garantir la réussite d’atteinte des objectifs, elle est d’autant plus efficace que lorsque les moyens et les ressources  nécessaires et suffisants sont à disposition et lorsque les conditions et les circonstances jouent en faveur de celle-ci.


Faire tendre l’efficience vers l’efficacité implique forcément un apport de moyens et de ressources pas nécessairement obligatoires, les objectifs sont alors atteints avec une tendance vers la perfection avec des coûts plus élevées et donc une performance moindre.

mercredi 4 avril 2012

Le journal d'un naufragé de l'Entreprise


Chapitre 001

Ce n’est pas la première fois que je me suis engagé dans des défis qui sembles insurmontables, comme il ne m’est pas complètement extraordinaire que j’empreinte des sentiers inconnus, risqués et pleins d’embuches, d’ailleurs, les chalenges sa me connait, je les considère même comme sources de mon énergie et origine de mon plaisir 

Il y a huit mois de cela, un cessna, avion monomoteur de sept places m’a parachuté dans un lieu désertique appelé BRN Bir Rebaa Nord, c’était le 20 mai 1995.

Les conditions et les circonstances étaient véritablement exceptionnelles, Je me souviens de ces aventures comme si elle dataient d’hier... Bien que les détails en soient un peu lestes et même aberrants, je veux les conter... D’ailleurs, j’avertis humblement les personnes qui me liront que mon intention, en écrivant ce journal, est de n’employer aucune réticence, ni réserve, pas plus vis-à-vis de moi-même que vis-à-vis des autres. J’entends y mettre au contraire toute la franchise qui est en moi et, quand il le faudra, toute la brutalité et la médiocrité que j’ai rencontré. Ce n’est pas de ma faute si la vie et les hommes sont faits ainsi, cela sera ma vie et mon monde à travers ma vision et mes pensées.


On m’a choisi comme chef des opérations de maintenance pour le pré-commissioning, commissioning et de démarrage des installation du premier champ de Sonatrach, un champ développé en partenariat,  c’était une équipe soit disant d’élite du moins c’est ce qu’il nous a été raconté alors, par notre manager de l’époque, le chef de région de Hassi-messaoud Mr. MoDjou. « Vous êtes la fierté de Sonatrach, disait-il, en acceptant cette mission et en empruntant ce parcours, vous faites honneur à Sonatrach et par  l’occasion, vous booster votre carrière … Je vous demande que vous soyez à la hauteur devant notre partenaire, la Sonatrach ne vous sera que reconnaissante …»

Ah ! Les belles paroles, quel sens de la motivation !

Nourri par l'espoir, motivé par de belles paroles, je me suis trouvé au milieu de nul part, aux confins du Sahara…

Il été dix heures trente du matin quand nous nous sommes embarqué à bord du cessna, trois italiens, un anglo-saxon, mon ami et Collègue lakbra et moi-même. On ne se parlait pas, on se regardait de temps à autre, par curiosité peut être. Cinq minutes plus tard ne fument en plein ciel, c’est la première fois que j’empreinte ce type de vol, l’avion était si petit que les vents ascendants et descendants dus aux grandes périodes de chaleur de saison le bousculais dans tous les sens, à gauche… à droit… en haut… en bat… à croire que nous sommes dans un manège pour enfants, non, non ! plus exactement comme si nous étions dans les montagnes russes, oui des montagnes russe. Les choses se sont calmées une fois que celui-ci a pris de l’altitude. Le voyage est devenu plus agréable, et un paysage panoramique unique au monde s’offrait à moi. Du sable à perte de vue, des dunes, des dunes d’innombrable dunes, semblable à des vagues géantes dans un océan au couleurs Sahara,  des dunes sculptées par la main de dieu, durant des siècles les vents les ont façonné, rangées d’une manière divine, je me posais des questions sur les équations et le formules mathématiques ayant à traves le temps, encadré la dynamique réalisatrice de ce chef-d’œuvre, un chef-d’œuvre appelé le grand erg . Je vois cela pour la première fois dans ma vie, je ne saurai trouver les mots, ni les qualificatifs, pour décrire cette vue sans porter atteinte à sa réelle beauté. C’était grandiose ! point.

Le compas indique 12 degrés sud-est, l’altimètre indique  8 500 pieds, le thermomètre affiche une température externe de 2 c°, Ouaou, quand je pense qu’au niveau du sol la température doit avoisiner les 45 degrés Celsius, sinon plus. Une heure de vol, le cessna change de régime, le moteur semble plus soulagé, l’altimètre décroit, 8000 pieds,    une heure de vol quand l’avion à commencer à amortir sa descente, j’ai compris que notre arrivée est imminente, je scrutais le paysage à la recherche de signe de vie d’un indice de civilisation … Sans succès ! Le paysage qui s’offrait à moi à travers le hublot du cessna, n’est plus ce qu’il était, il y’a un instant, l’absence de signes de vie provoquait en moi un sentiment d’angoisse et d’isolement, du sable rien que du sable, du sable à perte de vu, un océan de dunes et de sable, aucune infrastructure. Dans quelle merde tu t’es mis azeddine ? De loin, j’aperçois des pistes et des plates-formes, des pistes menant à des plates-formes de puits éparpillés, ici et là, dans le désert, et puis des baraquements, oui ! Une base en baraques … deux bases en baraques… une usine en construction… je ne saurais décrire l’agressivité de la vue inhospitalière qui s’est présenté à moi, jamais je n’ai imaginé vivre cela.

Sur un bond suivi d’une décélération rapide le cessna atterrit, on m’ouvre la porte je descendis, je ne fus pas le seul passager, avec moi y avait mon collègue et ami Lakbra et des Italiens que je ne connaissais pas. , deux véhicules sont là à attendre, de chaque véhicule descendirent deux italiens qui tout en riant et parlant un langage que je ne comprenais pas,  avançaient vers nous, et finalement la réaction des autres italiens passagers de l’avion me fit comprendre que nous ne sommes pas attendu.

Les passagers embarquèrent et les deux Toyotas démarrent vers une base distante à 500 m de là.

Lakbra et moi fument cloué à notre place, stupéfaits, nous regardâmes tantôt le pilote, tantôt la base.

« SVP… ou se trouve la Base de BRN ? » Dis-je au pilote un péruvien. 

« Quelle base ? Il y en a plusieurs » répondit-il

Eh ! hébété, je me tu un moment, la DP répondis-je.

La DP ?! connait pas moi.

-         Vous êtes là pour quelle société ?

-         Sonatrach

-         Je vous conseille d’aller à la base d’Agip celle que vous voyez, là-bas surement vous trouverais quelqu’un qui pourra vous aider.

Nous priment nos bagages et sous un soleil accablant sur une piste dégradée en tuf, Lakbra et mois marchâmes en direction de la base d’Agip, semblable à des bédouins nos lourds bagages sur nos têtes à la fois avoir l’équilibre en marche et pour nous couvrir contre le soleil.

Courage aze, encore un petit effort.     

Bon dieu ! A croire que j’ai signé mon arrêt de mort.

Un véhicule Toyota quitte la base vient en notre direction. Une lueur d’espoir, ils ont envoyé quelqu’un nous ramener, pensé ai-je.

Mais le véhicule prend de la vitesse, nous avons tout juste le temps de comprendre qu’il faut nous éloigner rapidement de la piste pour éviter la poussière que le véhicule fessait derrière lui.

L’accélération du véhicule pour quitter la base fut la même décélération pour s’arrêter à l’aéroport, c’est le véhicule dédié pour le transport du pilote, celui-ci ayant mis en sécurité son appareil est monté dans le véhicule pour être transporté vers la base.

Enfin... me dis-je, le pilote va demander au chauffeur de nous prendre.

Avec un sourire, je me suis préparé à lui faire un signe d’autostop.

Le ronflement du moteur, était un signe qui ne trompe pas, az dégage de la piste sinon tu vas avaler de la poussière mon ami. Effectivement, le chauffeur qui nous observait du coin de l’œil d’un air hautain avec un regard fugitif, qui me fait deviner l’incroyable… « s’ils vont faire du stop, je ferais l’aveugle, se dit-il, surement, pense ai-je.

Je me suis éloigné de son chemin, laissant la place à un nuage de poussier blanchâtre qui finit par me rattraper aveuglant mes yeux et asséchant ma gorge.

Lakbra murmure, ya rabi ya rabi ou est Sonatrach, warrahi Sonatach Hathi  ? La désorganisation hathi hia Sonatrach aucune planification, Legouar Koul wahed Jatou tomobile wa hna rmeouna fi nouss Shari.

Je traduis, oh mon dieu ou est Sonatrach ? Chacun des étrangers avait un véhicule à sa disposition, nous de Sonatrach, nous sommes abandonnés à notre sort. 

 Je ne pouvais me retenir de rire dans cette situation, ou vraiment, il n’y avait pas à rire, mon éclat de rire se transforma en faux rire que je ne pouvais maitriser ni arrêter, ce qui excita Lakbra et a augmenté sa rage.

« Azeddine… me dit-il » d’un ton coléreux sortant d’un gosier sec et assoiffé.  « Dit-moi yarham waldik, qui va s’arrêter pour nous prendre en stop, avec ton cabas sur la tête et ton allure de nomade, moi ! mmoi, si tu me fais du stop, je ne te prendrai pas ! »

Le faux rire prend le dessus, je pose mon cabas par terre, je m’assois dessus, et je ris et je ris. Lakbra souriant un moment, puis finit par se relâcher, pour nous abandonner au rire, à une centaine de mètre du poste de garde de la base Sonatrach Agip.



 Une fois le calme revenu, nous primes nos cliques et nos claques, et nous dirigeâmes vers le poste de garde.
 
La suite apparaitra automatiquement en décembre 2017, in chaa llah

vendredi 23 mars 2012

En résumé un Négativore selon Gouissem

Un Négativore est un être doué et doté de pouvoirs occultes et de facultés intellectuelles extraordinaires, capables de se téléporter dans les mondes de l’impossible, les explorer pour finalement revenir avec des problèmes pour toutes les solutions possibles.

Un Négativore comme son nom l’indique est un être pessimiste qui se nourrit de tout ce qui est négatif et rejette des problèmes comme déchets.

Un Négativore fait toujours parties du problème, rarement de la solution.

Dans un fluide le Négativore serait la viscosité tendant vers 1, il détruit l’initiative, attenue la performance, tue les idées et le pire il contamine son entourage.

Comment reconnaitre un Négativore afin de minimiser leurs influences négatives dans l’organisation ?

Simple, le Négativore utilise très souvent et spontanément les expressions suivantes avec un ton qui le caractérise :

1.     C’est impossible

2.     On a déjà essayé ça n’a pas marché

3.     Sois réaliste, ça ne marchera jamais

4.     C'est une idée stupide

5.     Je suis sceptique sur l'efficacité

6.     Cela coûtera trop cher

7.     C'est bien comme ça, y’a pas de raison de changer

8.     C'est trop difficile

9.     Nous n'avons jamais fait ça !

10. C'est trop compliqué

11. C’est ridicule

12. Vous êtes en avance sur votre époque

13. Ce n'est pas prévu au budget

14. Les patrons n'accepteront jamais

15. Le temps ne sera jamais suffisant

16. On ne fait pas comme ça d'habitude

17. On ne peut rien y faire...

vendredi 20 janvier 2012

En résumé un Positivore selon Gouissem


    




Un Positivore est un collaborateur optimiste, doué, volontaire et réfléchi, il est partisan de la volonté du changement vers le meilleur, c’est un destructeur d’obstacles, généralement, il fait partie de la solution aux problèmes.


Un Positivore est un facilitateur, motivateur, optimiste et ouvert à toute discussion ou négociation.


Dans un fluide le Positivore serait l’une des forces motrices, il attenue l’influence des négativores et améliore la performance dans une entreprise.

Comment reconnaitre un Positivore afin de le recruter dans l’équipe de travail et le faire contribuer dans l’améliorer des performances de l’entreprise ?

Simple, le Positivore utilise très souvent et spontanément les expressions suivantes avec un ton qui le caractérise :

1.          C'est une idée intéressante
2.          Allons-y
3.          Je soutiens cette initiative
4.             Raison de plus pour le faire !
5.          Personne n'a encore essayé
6.          Je suis avec toi
7.          Nous y arriverons.
8.          Comment penses-tu y arriver ?
9.          Continue, ne te décourage pas !
10.         Pourquoi ne pas essayer ?
11.         Comment pouvons-nous améliorer ?
12.         Et pourquoi pas ?
13.         Comment y parvenir ?
14.         Puis-je poser une question?
15.         Pouvez-vous m'expliquer plus...
16.         Peux-tu m'aider à creuser cette idée ?
17.         Nous sommes sur la bonne voie.
18.         C’est tout ?
19.         Suite à cette nouvelle donnée, j'ai changé d'avis.
20.         Qu’en pensez-vous ?
21.         Quelles idées avez-vous ?
22.         Pourquoi ne pas voir autrement ?
23.         Quelles sont les autres suggestions ou options?
24.         Qui ne risque rien n'a rien...
25.         Reformuler SVP ....