Ce qui
différencie un excellent manager d’un bon sont le potentiel, la capacité et les
aptitudes pour faire le meilleur choix décisionnel possible pour son entreprise
dans le cadre des objectifs que celle-ci les lui a fixé.
Dans
la vie nous sommes interpelé à chaque instant de faire des choix.
C’est la
résultante de l’ensemble de tous les choix fait durant notre vie
qui à fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui, et c’est l’ensemble de la
résultante de tous les choix que nous allons faire dans le futur qui feront de
nous ce que nous allons être demain.
De
même l’existence et la prospérité de l’entreprise sont aussi le résultat de
choix et de décisions.
Un
manager est appelé à faire des choix et à prendre au quotidien des décisions, dans
son entreprise, c’est le résultat de ses décisions qui fait la bonne marche ou
non de son secteur d’activité.
Le
sujet dans cet essai traite de la bonne mauvaise décision ou plutôt de
la meilleure mauvaise décision que le manager est appelé à prendre dans
certaines circonstances et certaines situations.
Vous me
dites, que la bonne décision est connue, la mauvaise décision aussi est connue,
mais la bonne mauvaise décision… ! C’est quoi ?
Il
arrive que le manager soit confronté à un obstacle ou à un problème pour lequel
les solutions envisageables soient toutes de mauvaises décisions.
Dans ce cas,
précis que faut-il faire ?
Rester
bloqué ? Ou bien déterminer parmi les mauvaises décisions, celle qui présente le
moins d’inconvénients et le plus d’avantages ?
Cette
solution une fois déterminée reste une mauvaise décision, elle est appréciée par votre entourage autant
que telle, mais vous êtes le seul à savoir que c’est la meilleure des mauvaises
décisions qui va contribuer à éliminer ne serait ce que partiellement
l’obstacle.
Là réside
le bulbe de la décision managériale, c’est dans ce genre de situation qu’on reconnaît
les hauts gabarits managers décideurs.
En conclusion, en réalité dans la vie professionnelle, un manager est généralement appelé à prendre les bonnes décisions, mais, lorsqu’il n’y en a que les mauvaises, choisir la meilleure reste un savoir faire et un flaire non offerts à tous et dont rares sont ceux qui y sont dotés.
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